Pré-Programme dédicaces 2019

Samedi 12 et dimanche 13 janvier: Salon du livre de Nemours (78)
Samedi 19 janvier de 14h à 16h: Librairie Fnac Conthey CH
Jeudi 14 au samedi16 février: Foire du livre Bruxelles
Samedi 2 mars: Salon Sang pour Sang Polar St Chef (38)
Jeudi 14 au dimanche 17 mars: Le Livre Paris (75)Jeudi 11 au dimanche 14 avril: Salon du livre de Québec Q-CA
Mercredi 1er au dimanche 5 mai: Salon du livre de Genève
Mercredi 13 au dimanche 17 novembre: Salon du livre de Montréal

Les Espionnes du Salève: L’envers du miroir

Parution: suisse 26 octobre 2017, France et Belgique 26 janvier 2018, Québec 28 mars 2018

Arguments
Mark Zellweger nous mène dans une Genève nid d’espions durant la seconde guerre mondiale. Il nous fait découvrir à travers son nouveau roman d’espionnage un visage de la population et du renseignement militaire suisses de 39 à 45 qui était jusqu’alors inconnu. Ce n’est que depuis les années 2000 environ que quelques historiens Français et Suisses ont commencé à révéler les dessous d’une Suisse officiellement neutre, mais qui a soutenu les Alliés, en catimini, dès les premiers jours. C’est la raison pour laquelle le sous-titre s’intitule : L’envers du miroir.
Un roman d’espionnage haletant et hautement humain !
Synopsis
Le 14 juin 1940, l’armée allemande rentre dans Paris et les années sombres recouvrent la France pour plusieurs années. Les jours qui suivent, le service de renseignement de l’armée de la Confédération helvétique, le SR, sous les ordres du général Guisan, s’active aux frontières de la Suisse Romande. En même temps, la communauté internationale du renseignement basée à Genève depuis 1936 se mobilise sous la férule du vice-consul anglais, Victor Farrell. Peu à peu des filières de passage entre la France et la Suisse romande se mettent place, la résistance s’organise entre Genève et Lyon en concertation avec les espions installés à Genève.
Hannah Leibowitz, échappée de justesse du ghetto de Lodz, arrive à Genève en juin 40 avec son fils Avram âgé de 2 ans. Elle prend la tête d’un groupe de femmes de toutes nationalités et résolument décidées à lutter contre la barbarie nazi. On les dénomme : Les Espionnes du Salève.
Le 1er juin 1941, Armand jeune lycéen communiste de Bourg-en Bresse en Zone interdite, se fait prendre par la gestapo lors d’une tentative d’entrée en Suisse au nord de Genève dans les environs de Satigny (les Fontaines) après avoir peint sur la mairie de Gex : « A mort les Boche ». Une certitude s’impose aux espionnes du Salève : on l’a dénoncé. Qui est le traître ? Les espionnes et leurs contacts mèneront leur enquête.
Nos espionnes seront confrontées à des collaborateurs sournois près à les dénoncer, à des agents allemands de l’Abwehr déterminés et agissant en Suisse sous couverture et à des trafiquants en tout genre.